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LA GALERIE DE nos modes de CONSOMMATION

  • Quand la consommation ressemble à la guerre

    La guerre c’est le conflit, la violence des comportements qui l’accompagnent. Cela semble absurde de l’associer à la consommation surtout dans nos sociétés d’abondance.
    Pourtant regardez :

  • Le questionnement que cela provoque...

    Le champ de bataille est un lieu fermé, une grande surface, dont l’ouverture et la fermeture font l’objet d’un protocole précis. Des informations sur les produits et les prix proposés, un horaire minuté, un fléchage vers les stocks disponibles, un lever progressif du rideau de fer derrière lequel se massent des consommateurs prêts à se précipiter et à en découdre pour obtenir le produit désiré. La libération soudaine d’une foule capable de franchir et de piétiner tous les obstacles humains et non humains dressés sur sa route constitue la première phase de la consommation guerrière.

    Ensuite les combats s’individualisent : une femme adulte arrache un jouet des mains d’un enfant, un homme défend avec acharnement les différents exemplaires du produit qu’il vient d’entasser dans son chariot, des groupes de consommateurs se forment pour dévaliser un rayon entier, etc... Il n’y a aucune règle, aucune surveillance. Chacun suit l’instinct qui guide son achat compulsif, au mépris des règles les plus élémentaires du dialogue et de la courtoisie. Comment comprendre un tel déferlement de violence dans un lieu d’achat supposé pacifique ? Pour cela, il convient de distinguer l’environnement externe et l’environnement interne des acteurs, c’est-à-dire l’influence de la société et celle des projections subjectives.

  • Titre de la vidéo

    Pour cela l’accompagnement d’O3A tiré des dernières expériences et connaissances liées au contexte et au fonctionnement du cerveau humain peuvent nous y aider.

La charge de la cavalerie

La prise de guerre

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